Si belle... si vraieJ'ai beau me dire
Qu'il faut du temps
J'ai beau l'écrire
Si noir sur blanc
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Passent les jours
Vides sillons
Dans la raison
Mais sans amour
Passe ma chance
Tournent les vents
Reste l'absence
Obstinément
J'ai beau me dire
Que c'est comme ça
Que sans vieillir
On n'oublie pas
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi
Goldman explique simplement l'après d'une rupture difficile, d'une personne que l'on a aimé et qui, de son côté, arrive à vous oublier, à sortir de cette histoire commune sans douleur.
Pendant que lui passe ses journées à penser à elle, les jours passent, vides et sans son amour.
Malgré des possibilités, rien n'y fait, il y a un vide, ELLE
Et ce dernier couplet, "sans vieillir, on oublie pas". Si bien dit, on ne peut éventuellement oublié quelqu'un comme ça que... par le temps !! Il fini en disant qu'il ne comprends pas pourquoi lui saigne (souffre) et pas elle...
Les versions acoustiques que l'ont retrouve sur les concerts sont... magnifiques... !!