Concert Mirande
Concert Mirande
Michaël Jones sera en concert au Festival country à Mirande le Dimanche 17 juillet 2005 de 23h15 à 00h45.
Source : Festival country Mirande
Source : Festival country Mirande
- Marjolaine
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- Inscription : lun. 24 juin 2002, 01:14
- Localisation : Perpignan
je suis trop dèg !
pour une fois qu'il passe pas loin...
je suis pas la le 17 !
pour une fois qu'il passe pas loin...
je suis pas la le 17 !
" L'esprit d'équipe ne nous est pas naturel, il s'apprend.
Quand il est là, on est sidéré de son efficacité, et que ce soit en patrouille, en sport, en musique, au travail, en couple !
Aucun bonheur n'est plus fort qu'un succès en équipe, "ensemble"."
Quand il est là, on est sidéré de son efficacité, et que ce soit en patrouille, en sport, en musique, au travail, en couple !
Aucun bonheur n'est plus fort qu'un succès en équipe, "ensemble"."
merci marjo pour avoir mis une carte ça parle tout de suite mieux
y a pas très longtemps il est passé pas loin de chez moi, je devais y aller avec miakajj mais elle avait oublié la date donc du coup, c'est tombé à l'eau et j'ai de tristesse
c'est vrai que c'est pas de bole, ça fou le cafardzazou a écrit : je suis trop dèg !
pour une fois qu'il passe pas loin...
je suis pas la le 17 !
y a pas très longtemps il est passé pas loin de chez moi, je devais y aller avec miakajj mais elle avait oublié la date donc du coup, c'est tombé à l'eau et j'ai de tristesse
ça te fait si loin que ça?Greg a écrit : Et moi pour une fois que je suis dispo, il passe loin
- Marjolaine
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Plus de renseignements sur le Festival en question :
==> 13ème édition du Festival Country Music de Mirande (Gers) du 13 au 17 juillet 2005
==> 63 concerts sont proposés sur cinq jours
==> Artistes présents : J.C. Harrison, Dixie Wheels, Elvis Memory Show, Paul Personne, Michaël Jones
==> Rassemblements divers prévus : 30 montgolfières, 250 voitures américaines, 2.000 motos et autres concours.
Renseignements : 0.890.712.807 ou www.country-musique.com
==> 13ème édition du Festival Country Music de Mirande (Gers) du 13 au 17 juillet 2005
==> 63 concerts sont proposés sur cinq jours
==> Artistes présents : J.C. Harrison, Dixie Wheels, Elvis Memory Show, Paul Personne, Michaël Jones
==> Rassemblements divers prévus : 30 montgolfières, 250 voitures américaines, 2.000 motos et autres concours.
Renseignements : 0.890.712.807 ou www.country-musique.com
@}--}--
yes merci marjo !
tu es allé sur le site ?
je vais aller l'explorer et si je vois quelque chose d'intéressant, je vous préviens !
tu es allé sur le site ?
je vais aller l'explorer et si je vois quelque chose d'intéressant, je vous préviens !
" L'esprit d'équipe ne nous est pas naturel, il s'apprend.
Quand il est là, on est sidéré de son efficacité, et que ce soit en patrouille, en sport, en musique, au travail, en couple !
Aucun bonheur n'est plus fort qu'un succès en équipe, "ensemble"."
Quand il est là, on est sidéré de son efficacité, et que ce soit en patrouille, en sport, en musique, au travail, en couple !
Aucun bonheur n'est plus fort qu'un succès en équipe, "ensemble"."
- Marjolaine
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mince j'ai oublié de venir vous prévenir !
je suis donc allée faire un tour sur ce site et j'ai trouvé ça d'intéressant, c'est ce qu'il dise de Michaël :
Michael Jones (Royaume-Uni)
Il a cette façon particulière de fermer les yeux, à l’arrière d’une voiture et de chanter pour son pays. Juste un voile de voix, une soie fatiguée d’arrière gorge. Pour lui et rien d’autre, lorsqu’il se croit épié. Michael Jones est né en 1952 à Welshpool au Pays de Galles. Et c’est l’hymne de cette terre brute qu’il fredonne parfois, comme au milieu d’un stade rouge, comme le gamin d’Y Trallwng retourné sur les bords de la Senern.
C’est là qu’il joue au chanteur, à 14 ans, au milieu d’autres gosses qui rêvent de scène. Avec le « Urban district council dibdob Band, » il s’essaye aux plus fameuses reprises de Chuck Berry, joue les Who, chante Deep Purple, raconte la pop anglaise depuis les années 60.
En 1971 Jones traverse la mer. Pas loin. S’arrête à Caen, au cas où il faudrait retourner en urgence. Avec la France, le jeune gallois découvre les Français et la musique qui va avec : bals, galas, cabarets, concerts, cours de guitare.
De 1976 à 1979, il croise la route d’un groupe au nom de vent. « Taï Phong » commence à marcher. Il y a un drôle de type, fils d’un juif polonais et d’une juive allemande, compositeur, chanteur et musicien. Notes à notes, les guitares de Michael et de Jean-Jacques Goldman apprennent à s’apprendre. Blues, amitié, quand le groupe disparaît, ils jurent de se retrouver « quand on sera célèbres. »
De 1979 à 1983, Jones fait de la scène, du studio, se fond dans « Week-end Millionnaire, » groupe toulousain, puis « Gulf Stream, » avant de rentrer à Caen. C’est là que Goldman rappelle. Un album, deux albums, l’ancien de « Taï » a connu le succès avant la scène. Et pour la scène, justement, il a besoin des notes galloises. Alors c’est d’accord. Cinq mois de tournées, cent concerts de retrouvailles.
Une nuit on remarque Jones. Contrat. D’abord, « Viens » un single. Puis « The swinglers » un album. Et toujours aux côtés de Goldman. Après la tournée « non homologué, » dix sept jours au Zénith et le duo « Je te donne, » Michael Jones sort « Guitar Man, »nouveau single. Continuent les tournées avec Goldman et les albums. Michael Jones et Carole Fredericks rejoignent Goldman sur des affiches où il se sentait trop solitaire.
« J’aime tellement ce type, » dit Goldman en parlant de Jones, « que je ne peux qu’être partial. Mais cela dit, c’est un fabuleux guitariste, un super compositeur et il chante comme j’aimerais chanter. » Ce n’est pas une formule, il suffit de surprendre cette moue de bonheur que Goldman peut avoir lorsque Jones chante les yeux fermés, sa guitare en pleurs.
c'est il pas mignon ?!
je suis donc allée faire un tour sur ce site et j'ai trouvé ça d'intéressant, c'est ce qu'il dise de Michaël :
Michael Jones (Royaume-Uni)
Il a cette façon particulière de fermer les yeux, à l’arrière d’une voiture et de chanter pour son pays. Juste un voile de voix, une soie fatiguée d’arrière gorge. Pour lui et rien d’autre, lorsqu’il se croit épié. Michael Jones est né en 1952 à Welshpool au Pays de Galles. Et c’est l’hymne de cette terre brute qu’il fredonne parfois, comme au milieu d’un stade rouge, comme le gamin d’Y Trallwng retourné sur les bords de la Senern.
C’est là qu’il joue au chanteur, à 14 ans, au milieu d’autres gosses qui rêvent de scène. Avec le « Urban district council dibdob Band, » il s’essaye aux plus fameuses reprises de Chuck Berry, joue les Who, chante Deep Purple, raconte la pop anglaise depuis les années 60.
En 1971 Jones traverse la mer. Pas loin. S’arrête à Caen, au cas où il faudrait retourner en urgence. Avec la France, le jeune gallois découvre les Français et la musique qui va avec : bals, galas, cabarets, concerts, cours de guitare.
De 1976 à 1979, il croise la route d’un groupe au nom de vent. « Taï Phong » commence à marcher. Il y a un drôle de type, fils d’un juif polonais et d’une juive allemande, compositeur, chanteur et musicien. Notes à notes, les guitares de Michael et de Jean-Jacques Goldman apprennent à s’apprendre. Blues, amitié, quand le groupe disparaît, ils jurent de se retrouver « quand on sera célèbres. »
De 1979 à 1983, Jones fait de la scène, du studio, se fond dans « Week-end Millionnaire, » groupe toulousain, puis « Gulf Stream, » avant de rentrer à Caen. C’est là que Goldman rappelle. Un album, deux albums, l’ancien de « Taï » a connu le succès avant la scène. Et pour la scène, justement, il a besoin des notes galloises. Alors c’est d’accord. Cinq mois de tournées, cent concerts de retrouvailles.
Une nuit on remarque Jones. Contrat. D’abord, « Viens » un single. Puis « The swinglers » un album. Et toujours aux côtés de Goldman. Après la tournée « non homologué, » dix sept jours au Zénith et le duo « Je te donne, » Michael Jones sort « Guitar Man, »nouveau single. Continuent les tournées avec Goldman et les albums. Michael Jones et Carole Fredericks rejoignent Goldman sur des affiches où il se sentait trop solitaire.
« J’aime tellement ce type, » dit Goldman en parlant de Jones, « que je ne peux qu’être partial. Mais cela dit, c’est un fabuleux guitariste, un super compositeur et il chante comme j’aimerais chanter. » Ce n’est pas une formule, il suffit de surprendre cette moue de bonheur que Goldman peut avoir lorsque Jones chante les yeux fermés, sa guitare en pleurs.
c'est il pas mignon ?!
" L'esprit d'équipe ne nous est pas naturel, il s'apprend.
Quand il est là, on est sidéré de son efficacité, et que ce soit en patrouille, en sport, en musique, au travail, en couple !
Aucun bonheur n'est plus fort qu'un succès en équipe, "ensemble"."
Quand il est là, on est sidéré de son efficacité, et que ce soit en patrouille, en sport, en musique, au travail, en couple !
Aucun bonheur n'est plus fort qu'un succès en équipe, "ensemble"."
greg a écrit:
miakajj a écrit
sans rancune miakajj, c'est pas grave on va aller le voir bientôt..;
alors t'y va ou pas? tu as combien de km?Pour aller voir un concert de Jones, oui c'est beaucoup trop loin.
Mais bon je disais plus ça par blague que par désespoir
miakajj a écrit
ok tu étais partie là-bas, mais tu ne te souvenais plus de la date, tu avais été surprise quand le samedi je t'avais envoyé un texto pour te dire: c'est demain. tu m'avais revoyé: t'es sûr;oups.....Attends, j'était à 400 km !! C'est pas que j'ai oublié, c'est "qu'on m'a obligé" !!
sans rancune miakajj, c'est pas grave on va aller le voir bientôt..;